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face au vent-avel a benn
26 octobre 2006

...

J'ai commencé ce blog par un message nommé "comprendre"...

Et dans ma tête, tourne en boucle cette chanson de M.Berger: Pour me comprendre...

Résumé de la chanson:
"Pour me comprendre, il aurait fallu..."
Nous sommes les seuls à pouvoir nous comprendre. Quand nous y arrivons...

Grande question posée par la chanson:
... "Et savoir qu'"après", à quoi sert de vivre encore un jour?"

Il m'a fallu du temps, des larmes, et des errances, pour enfin trouver la réponse:
A quoi sert de vivre encore un jour?

A Vivre...
Tout simplement.

Vivre, peut être pour soi, et non à travers les autres.
Vivre, pour vivre, et non pour un but, un rêve, un pont vers ailleurs ou demain qui s'effondre, un chemin qui finalement n'ira nulle part..
Vivre pour vivre.

çà parait idiot, écrit comme çà.
Et pourtant, c'est l'essentiel.
Même si...
"Après"...

7029237

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Commentaires
M
Qui peut prétendre me connaître<br /> Sans se contenter du paraître<br /> Image toute faite ou projection<br /> C' qu'on vous prête est à confusion<br /> Qui peut prétendre me comprendre<br /> Quand il faut de tout se défendre<br /> Passé les on-dit, cassé la glace<br /> Et gratté le vernis en surface<br /> Quand soit même on cherche et se perd<br /> Pour toute une vie qu'on veut bien faire<br /> <br /> Je suis comme je suis<br /> J'aime comme j'aime<br /> Même si j'en paie le prix<br /> Je suis comme je suis<br /> Je suis mes envies<br /> Comme suivent ceux qui m'aiment<br /> Je rêve comme je rêve<br /> Plutôt mal que bien<br /> Parfois même un rien<br /> Je suis comme je suis<br /> En tout cas je n'ai<br /> La prétention de rien<br /> <br /> Qui peut prétendre avoir la clé<br /> De mon enfance et ses ratés<br /> Ranger tous vos clichés qui rassurent<br /> Des blessures à vivre sous l'armure<br /> Mais qui peut prétendre encore prétendre<br /> Avoir un jugement à rendre<br /> Et pouvoir s' regarder en face<br /> Qu'est-ce qu'il aurait fait à ma place<br /> Quand moi même je cherche et m'y perd<br /> Pour tout un cirque qu'il faut bien faire<br /> <br /> <br /> La prétention de rien<br /> <br /> Je suis comme je suis<br /> J'aime comme j'aime<br /> Je suis comme je suis<br /> Je rêve comme je rêve<br /> Je suis mes envies<br /> Comme suivent ceux qui m'aiment<br /> Ceux qui m'aiment<br /> Je suis comme je suis<br /> <br /> Je rêve comme je rêve<br /> Plutôt mal que bien<br /> Parfois même un rien<br /> Je suis comme je suis<br /> En tout cas je n'ai<br /> La prétention de rien <br /> <br /> Je suis comme je suis
B
Moi, la vie, <br /> J'y ai planté <br /> Toutes mes dents<br /> Quitte à en laisser <br /> Quelques-unes <br /> Dedans<br /> ...<br /> <br /> C'est souvent trop tard <br /> Que l'on comprend<br /> Que le bonheur est simple<br /> Simple <br /> Comme un jeu d'enfant<br /> ...
L
voilà bien longtemps aussi que je ne suis pas passée chez toi Gilda.<br /> J'ai passé quelques heures(!) à Paris dernièrement. J'aurais pu envoyer un petit coucou à mes lectrices de blog, mais le temps me manquait aussi.<br /> Il faut dire, que quand on est coincée sur le périf (à cause du salon de l'Auto) pendant 2h30, toute idée de rencontre semble incongrue...<br /> Merci d'être passée
G
Longtemps que je n'étais pas passée, je profite de quelques jours de congés chez moi pour le faire. <br /> <br /> Bon courage pour les ennuis techniques, j'ai connu un peu ça (dégroupage sauvage et total par France Télécom au nom d'un opérateur à ce jour toujours mystérieux (pour nous mais pas pour eux, sauf qu'ils n'ont pas le droit de nous le dénoncer) pendant un bon mois. Le téléphone vite rétablit, l'internet non.<br /> Mais j'ai le privilège d'habiter en pleine ville je pouvais donc même d'un pas vacillant (j'étais en arrêt maladie, sinon ce n'eût pas été aussi drôle) au moins aller lire mes messages dans des cyber-machins.<br /> <br /> à bientôt ici ou là, j'espère
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