humour du soir...
En ce moment, mes stats frisent la surchauffe:
je vous signale à chaque fois tous les pervers en tout genre qui atterrissent chez moi, et cela excite encore plus le robot gogole qui s'en donne à coeur joie...
J'ai donc eu droit aux horreurs habituelles, mais en pire
" ma fille nue"
ou bien "fille nue au collège"...
et là, je ne souris plus du tout.
Par contre, et vous ne serez pas nombreux à comprendre (même personne d'ailleurs) une recherche m'a fait mourir de rire:
" se taire, conjugué à tous les temps et à tous les modes"...
çà , c'est un souvenir des Vosges
Il pleuvait, la pente était rude et longue (15km) et je causais, causais...
Mes deux compagnons d'(in)fortune devaient en avoir ras le bol, et l'un d'eux me dit:
chiche, on parie que tu la fermes jusqu'au refuge?
vexée, je me drape dans ma dignité (faisait froid, çà tenait chaud) et je me tais
durant toute l'ascension, mes potes me posaient des questions, du genre: " çà va", "c'est pas trop dur", tu as vu l'herbe comme elle est verte?", etc...
Et moi, je me retournais, lançais un regard hautain, et passait un doigt sur mes lèvres, ou bien je secouais la tête.
Arrivée au refuge, j'ai continué à me taire, et il a fallu que mes 2 compagnons insistent lourdement pour entendre le son de ma voie.
Depuis, ils m'appellent : " le pépé dans Astérix en Hispanie", et à chaque fois, je me marre...
Alors lire çà sur mon blog...
Et j'ai vérifié, cela ne vient pas de chez eux!!!
Demain, je commence ma saison de compet: je suis à bout de force, le moindre effort m'épuise, mais je vais retrouver mon club, et l'ambiance bonne enfant du cyclocross.
alors même à genoux, j'irai.
Et sur le mail d'encouragement de mes amis que je viens de recevoir, mon empecheur de parler en roulant m'a dit: pense à la montée du *****; et à la tronche du pépé en Hispanie, et roule ma poule...
Combien vous pariez que je vais me rouler par terre de rire, accrochée aux pédales du vélo?
C'est pas sérieux, mais çà motive
Allez, quelques photos de là bas pour mieux y penser..