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face au vent-avel a benn
25 mars 2009

le bonheur est dans la forêt (suite)

Un commentaire de BiWi sur "requiem" me laisse perplexe.
"Pourquoi retournes tu là bas? chercher quoi? revivre des souvenirs? laisser l'espoir venir encore? aller plus loin? essayer?" (en résumé).

BiWi me connait bien, nous parlons ensemble presque chaque jour.
Et ce comm me montre encore une fois que tout ce que j'écris peut être mal compris.
Je ne sais pas de quel endroit elle parle quand elle écrit "là bas".
Si c'est de l'endroit dont je parle dans mon message "le bonheur est dans la forêt", je crois qu'il faut vraiment que j'apporte des précisions :)
Si c'est de Brocéliande, à propos du message "requiem", je précise à tous que ce n'est pas moi qui y suis allée, mais une lectrice.

Bon...
Pourquoi retourner à un endroit précis?
Parce qu'on aime cet endroit me semble une raison suffisante. Voire même la SEULE raison valable.
Pour y faire revivre des souvenirs?
Pas besoin. Si j'ai des souvenirs à faire revivre, j'y pense, c'est tout. Je m'imagine voulant faire revivre des souvenirs de l'été 2005 tiens.. Me faudrait prendre un avion pour Damas.. pas très pratique, ni économique. :)

Faire revivre des souvenirs, c'est quoi?
Le temps passe, et il les transforme, qu'on le veuille ou non. On y pense. Les actes, les faits restent les mêmes. L'interprétation peut changer, le ressenti aussi. On a évolué. On voit les choses autrement.
Revivre les souvenirs?
Mes souvenirs à vivre sont .. devant moi. Vivre aujourd'hui, c'est tout.
Oui, cet endroit me rappelle plein de souvenirs. Et uniquement des bons. Normal, puisque je l'aime!
Mais je n'y vais pas "en pélerinage", j'y vais pour VIVRE! Marcher, courir, ouvrir les yeux, découvrir d'autres sentiers, aimer encore mieux ceux que je parcours à chaque fois, me laisser pénétrer par une luminosité nouvelle, respirer, écouter les oiseaux, le grognement sourd des sangliers.

Le passé? Bah.. il est derrière.
Cette semaine, tiens, une envie puissante, venue de je ne sais où. Filer à Cherbourg prendre un ferry, droit vers l'Irlande. Là, faire du top jusqu'au grand nord. Passer (et seulement passer!!) en Irlande du Nord, pour rejoindre la partie de l'Ulster faisant partie de la République d'Irlande. Aller à un endroit bien précis, vu il y a 10 ans déjà. Marcher sur cette route, dormir au milieu des ruines.
Pas pour revivre des souvenirs, pour vivre, c'est tout.
Parce que j'aime cet endroit. Même si mes pas me portent vers la montagne, cet amour demeure.

Laisser l'espoir venir encore?
L'espoir, pour moi, c'est trouver un job, et déménager. Ce n'est pas en marchant dans la forêt que j'y parviendrais.
Pour tout le reste? Quel reste?
L'espoir est une notion abstraite, je vis concrètement. Manger, dormir, avoir chaud, AVOIR DU FRIC POUR NOURRIR MES GOSSES.
L'espoir est une notion tournée vers un futur incertain. Je vis au présent. Je n'espère rien, et cela n'a rien de pessimiste.
Je n'attends rien non plus... Je ne pose pas de questions.

Aller plus loin? Essayer?
Essayer... Verbe qui pour moi sonne de manière négative. Essayer, c'est admettre l'échec. L'admettre, c'est bien, le prévoir, c'est bien, mais çà le crée :)
Maître Yoda, mon maître à penser (:))) dit:
N'essaie pas. Fais le ou ne le fais pas. Il n'y a pas d'essai.

Il n'y a pas d'essai... Plus loin?
Je suis sure que mes paroles vont encore être mal comprises...
Plus loin, pour pas mal de monde, c'est possible, mais pas seul. Je veux dire par là, que l'on entrevoit souvent le "plus loin" à travers quelqu'un d'autre. On va plus loin auprès de l'être aimé par exemple. Ou on va plus loin car on croit en Dieu.
Je sais aller plus loin par moi même. Et tant pis si en écrivant çà on me prend pour une "aveuglée par ma propre lumière".
Je n'ai pas besoin de mettre mon pas dans celui d'un autre. Je n'ai pas non plus besoin de croire en Dieu pour voir plus loin. Je ne dis pas par là que je ne crois en rien...
Se "raccrocher" à Dieu, quand on ne va pas bien, quand on est seul, ou même quand tout va bien, pour aller plus loin, c'est ... une entrave à sa propre liberté. Quelque part, vous vous créez une limite. (çà va être hyper mal interprété tout çà, mais tant pis, je ne sais pas l'expliquer).
Trop souvent, ceux qui sont seuls se tournent vers Dieu, comme un ultime refuge, une main tendue. Ne voient le bonheur qu'à travers lui.
Il faut apprendre à voler par soi même...
Dieu, peu importe comment vous l'appelez.. Il vole près de vous. Et je suis sure qu'il préfère vous voir ainsi... Libre :)
Je persiste à dire qu'on ne doit pas le chercher... Sinon, c'est cette quête qui vous aveugle. Et vous ne le trouvez pas.
Apprenez à aller plus loin, seuls, par vous même.
Alors... S'ouvrira une nouvelle dimension, vraiment sans limites.
La passion peut être destructrice, une chaine, un mal qui vous détruit, si loin de l'Amour.
La Foi, le "plus loin", peut importe comment vous l'appelez... ne doit pas être une fin, une limite.

Pfffffff... va t'en expliquer ce que je voudrais faire passer.. sans passer pour ce que je ne suis pas!
Alors j'arrête là mes discours idiots.

J'en reviens à samedi...
Couchée sur une pierre plate, près de l'étang, j'écoute les oiseaux, et pas très loin, parfois, le grondement sourd des sangliers. Bientôt je croiserai des mères suivies de leur 5 ou 6 bébés. Humble, je resterai immobile, les yeux baissés, la surveillant discrètement quand même, et repérant rapidement le plus proche arbre où grimper, au cas où...
Le vent glacé me rappelle que nous sommes en mars.
Je vais aller marcher, chercher au hasard, un arbre bien particulier. Je sais "à peu près" où il est censé se situer. Mais va t'en trouver un arbre perdu au milieu de la forêt... Je le trouverai peut être, si la forêt désire m'y conduire, ou je trouverai autre chose, un cadeau offert comme çà, au hasard des non-sentiers, au milieu des ronces.

La forêt résonne du bruit terrible des tronçonneuses. Tout le long des routes goudronnées, interdites mais ouvertes ce jour, des tracteurs, des voitures trainant des remorques.
Opération "coupe de bois". Partout, dans les bois, des tas de buches parfaitement rangées. Du chêne, du hêtre... çà fait toujours un peu mal, mais je sais voir. Ils ne font qu'éclaircir les bois, et ils le font BIEN. Les arbres sont trop près les uns des autres. Ils coupent le surnombre, et çà permettra aux autres de grandir.
Je connais, en redescendant de la bosse, une partie de forêt claire, où l'on distingue encore les traces des coupes passées. La forêt est belle, propre, saine. J'aime aussi ces bois sauvages, où l'homme n'a pas mis les pieds depuis un siècle, ou chaque mètre à parcourir demande réflexion, détours. Les arbres sont serrés, les branches vous happent, les arbres morts vous font trébucher.
La forêt, quand elle est entretenue, est moins sensible au feu, et s'y promener comme je le fais, hors sentier, au jugé, m'orientant grace au soleil, est plus simple.
Je marche le long de petites routes goudronnées, et la vue de ces tas de bois coupés ne me fait pas mal. Je pense à Barenton, au massacre, aux souches entassées sur fond de désert de boue...
Je pense à une forêt de sapins du Finistère, soit disant "entretenue".. Les tracteurs forestiers tirent sur les troncs, les font dévaler la pente... Ce faisant ils arrachent sur leur passage les jeunes arbres. Après le massacre restent à terre les restes d'élagage. Et le désert.
Ici, les coupes se font en douceur, dans une rigueur rassurante.
Merci...

J'approche de la route nationale, j'entends le bruit des voitures.
Une voiture conduite par 2 dames me croise. çà fait 3 fois qu'elle le fait. Cette fois ci elle s'arrête. Au vu de ma tenue très "couleur locale", les dames me croient "habitante du lieu". Je rigole intérieurement. J'ai l'âge d'être la mère de la moitié des habitants du lieu! :)
SVP... vous connaissez le coin?
Oui :)
On cherche la route de X.
Ah? ben vous êtes carrément à l'opposé! Et vous n'avez pas du tout le droit de rouler ici.
Oui, on voudrait juste trouver la route de X, on tourne en rond depuis un moment, il n'y a aucun panneaux!
Je sais (grand sourire!) Même sur les routes autorisées à la circulation il n'y en a pas. Faites demi tour, et quand vous arrivez à la grande route...
On peut pas, on a essayé, y a une barrière.
Merde....
Bon, je sors ma carte détaillée (faut savoir se repérer, sinon la carte ne sert à rien ici), et je leur montre où on est exactement. Elles me disent où elles sont "entrées" dans le camp. Loin, très loin d'ici!
Vous étiez sur la route de X! Mais vous l'avez perdue ;)
Allez hop! filez par là, et prenez à gauche. Toujours tout droit. Vous allez retourner sur une route autorisée, à environ 3km. Et la route de X est un peu plus loin. Il y a une barrière au croisement mais elle est levée à cause des coupes de bois.

Les dames repartent.. Je ne les reverrai plus, je pense qu'elles ont trouvé la route. Ou alors je trouverai leur voiture abandonnée, en panne d'essence, avec leurs cadavres à l'intérieur, lors de mes prochaines balades.
Rouler ici, même quand on  habite les villages autour, c'est.. se perdre à coup sur! C'est avec l'habitude que l'on sait où tourner.
Alors imaginez y marcher, à travers bois, sans balisage, vous repérant au soleil...

Excusez nous, on vous a fait perdre du temps m'ont elles dit...
Sourire. Perdre du temps? Il fait beau, je marche... au feeling. Quel temps suis je censée perdre?

J'arrive près d'un lieu de bivouac. Vide. J'imagine facilement le coin recouvert de tentes vertes, des camions garés à côté.
Pour le moment, c'est cette allée d'arbres qui m'attire. Complètement hallucinant, là, au milieu de la forêt.
Ici, il y a 150 ans, il devait y avoir un hameau, sinon pourquoi cette allée?
Je n'étais jamais venue par ici.

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J'ai toujours pensé qu'un arbre taillé en cépée était un arbre torturé. Certains l'acceptent très bien (chataigniers) d'autres, comme les chênes, en souffrent.
Mais j'avoue que cette allée, si claire, est vraiment superbe.

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Au sol on distingue encore la trace d'anciens murets de pierre. Les arbres sont très vieux, et pourtant pas de taille impressionnante. C'est vraiment étrange. Les troncs sont comme torturés, creusés.. Comme si ces arbres là étaient morts ensevelis sous des tonnes de terreau, puis dégagés, et revenus à la vie :)
Va t'en expliquer çà! Des vieux feuillus en cépée j'en connais des tonnes, mais aucun n'a cet aspect torturé. Je ne comprends pas.
Je m'arrête un moment devant deux arbres dont les branches ont fini par se rejoindre, et fusionner.

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Là, vous voyez bien ce que j'appelle "tronc torturé"! Et encore, ce n'est pas le pire!
Cet endroit est absolument fabuleux. Une grande place plane, claire, paisible. J'y marche au ralenti, vers la fin de l'allée.

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En enjambant le talus, je tombe sur un ancien chemin, qui devait desservir le village. Tout autour on devine encore la trace des champs cultivés, même si la nature a repris le dessus.

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Les ronces recouvrent tout...
Et au bout du chemin, sur la gauche, des murs, une ouverture en ogive. Une chapelle en ruines.
C'est ainsi que je les aime.

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Je me suis approchée, déchirant le bas de mon pantalon déjà bien déchiré. Marché vers la lumière.

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J'ai su que je ne trouverai pas l'arbre. Parce que ce n'était pas "le jour".
Elle, je ne l'avais pas cherchée, et elle était là.
Et et elle était belle ainsi, ouverte sur le ciel, recouverte de ronces. Petit à petit elle allait retourner à la terre. Pour l'instant la lumière réchauffait les vieux murs de schiste.
Moi qui marche le matin, je l'avais trouvée l'après midi, parce qu'il le fallait. C'était l'après midi que le soleil se trouvait derrière la fenêtre désormais inutile.

Face à la fenêtre en ogive, les pieds dans les ronces, j'ai voulu prendre une photo. Je ne voyais absolument rien. Le résultat lui aussi était presque invisible tant la lumière était vive.
J'ai tenté d'en prendre une autre, posant ma main près de l'appareil. J'ai bien vu que le résultat était plus net.
Mais c'est la première que je publie, la première, trop lumineuse, pleine d'artéfacts.
La lumière du ciel aime les fenêtre sans vitres, les chapelles sans toit. Elle se donne au détour d'un non-chemin. Le vrai cadeau est celui que tu n'attends pas, que tu n'espères pas, que tu ne cherches pas.

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Je suis entrée dans la chapelle, comme on entre dans un lieu de vie.
Ceux qui sont censés représenter Dieu ont bati des églises en son nom. Des lieux sombres, fermés, plein de murs, où l'on chuchote.
Ils ont crée des limites pour nous éloigner de l'essentiel.
L'essentiel, me diront certains taquins, peut être ressenti dans le noir au fond d'un placard à balais...
Désolée.. J'aime les nuits sans lune, j'aime marcher dans les forêts sombres à la clarté de la lune, j'aime marcher au milieu des sapins dans le brouillard le plus total, mais il me faut respirer.
La lumière n'est pas qu'une question de photons. Il y a des noirs qui portent... Des éclairages crus qui te stoppent.
La lumière, c'est parce que tu es là, à cet instant, à cet endroit.

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Plus loin, dans un roncier dense (j'ai du enjamber des ronces de plus de 1m de haut pour m'approcher), un mur très haut. Tout ce qu'il reste certainement de la dernière maison du hameau. Ce devait être une sacrée belle maison, vaste et haute. Rien à voir avec les maisons des paysans de l'époque, à un seul niveau, basses et sombres.
Sur un côté du murs, la trace de la cheminée.

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J'ai continué à chercher l'arbre, tout en sachant que je ne le trouverai pas.
J'ai déniché un nouvel ERMI (engin rouillant mal identifié) :)

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Celui ci est vraiment en piteux état, rien à voir avec mon vieux pote et ses peintures de paix :)

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Puis je suis retournée vers l'étang, en prenant un chemin différent.
Et comme souvent, j'ai coupé à travers bois, au jugé.
Pas simple. Par ex, vous vous dite: en marchant droit devant, je vais arriver ici (couper une route, ou un point bien précis).
Ok, çà c'est possible dans le cas où vous marchez dans un pré ou un désert.
La forêt, c'est pas toujours évident. Il y a des ruisseaux, des bourbiers, des ronciers où  l'on ne peut pas pénétrer, des taillis pleins d'ajoncs plus impénétrables qu'une triple rangée de barbelés.
Alors faut contourner, et retrouver la direction qui était la votre avant. Et çà recommence, et à force de contourner, et de croire revenir sur la bonne direction, on peut se retrouver à marcher dans le sens inverse!

Mais Laouen est têtue... J'ai fini par déboucher à 30 mètres du lieu exact que je cherchais à rejoindre. En fait c'était même inespéré, je pensais tomber 200m plus bas.
Coupé encore à travers la forêt, en descendant de la bosse. Ici les coupes de bois sont terribles... La forêt, si dense (y marcher relevait de l'obstination :)) parait ravagée. Le bois est encore par terre. Il est impossible d'avancer, les branches forment des barrières infranchissables, le sol est défoncé (piétinement, engins.. )
Mais les arbres qui sont encore debouts vont grossir. Ils vont couper les branches à terre, ranger le bois en jolis tas d'où rien ne dépasse.
Dans 2 ans, on ne verra plus rien. Il me sera possible de courir là, sans me fraiser la gu**** à chaque pas (comme avant les coupes).
Dans 2 ans, peut être même moins, la forêt ressemblera à celle ci, que je traverse d'un pas léger, pour rejoindre l'étang.

Lumière...
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Je reviens sur le fait de courir ou de marcher en forêt, hors sentier, tout droit, ou au feeling, me repérant grace au soleil.
On peut le faire, pour rejoindre un point précis en tirant "au plus court" (mais pas au plus rapide!!)
En forêt la ligne droite n'est pas forcément le plus court chemin :)
Et on peut le faire...
Comme çà.
Voir une trouée entre deux arbre, en marchant sur un sentier. Y entrer, et continuer.
Sans but précis, sans même chercher à savoir si on marche vers le nord ou le sud...
Marcher, ou courir sans but, sans suivre une ligne. Suivre la lumière, la courbe d'une vallée, grimper sur une crête, voir un arbre, s'en approcher, marcher dans un bourbier profond en aimant çà.
Juste comme çà..
Déboucher, au hasard, sur un sentier que l'on connait, ou pas. Se demander sans paniquer: meuh? où suis je?

Attention: je ne ferais jamais çà en haute montagne, le risque est trop élevé (de se perdre et de mourir de froid).

Mais ici...
Je risque.
Et je suis libre....

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Commentaires
L
Je ne sais que dire, Laouen, à part le fait que je relis ce texte aujourd'hui et que je le vois différemment. Je n'ai pas dit...je le comprends ...à ça aussi j'ai renoncé.
J
La magie d'un parcours en forêt et cette porte nimbée de lumière ! Vraiment magnifique ça me donne envie de m'y remettre rapidement avec mes nouvelles chaussures choisies grâce à ton aide ;o)
B
Un ami a écrit un chant il y a environ un mois...<br /> J'ai mis du temps à en retenir le refrain...<br /> <br /> "Tout peut se vivre et se jouer<br /> en un seul battement d'aile<br /> Tout peut se mettre à danser<br /> Quand elle est là"<br /> <br /> ...elle... c'est le titre de mon com, c'est le titre de son chant...<br /> <br /> <br /> (tu es la première à qui je le partage Laouen... mais en lisant cet article, j'ai eu envie de l'écrire... pour toi)
M
Difficile un comm' sur une ambiance comme ça, mais... message via mail pas possible alors j'espère que tout va bien.<br /> Je te reconnaîtrai là <br /> http://abpnbagneres.canalblog.com/<br /> <br /> chez Saturnin, on y est bien
Z
"Il y a 150ans il devait y avoir y avoir un hameau, sinon pourquoi cette allée" dit-tu... ou simplement un château, détruit au fil des ans....mais c'est vrai aussi, si il y a un château il y a un hameau aussi....des pauvres serviteurs des seigneurs.<br /> ...Bien sûr j'en suis consciente beaucoup viennent pour avoir un retour d'ascenseur. Un blog, c'est un échange, ça ne me gène pas, mais c'est vrai, que je passe un temps fou à répondre...j'y trouve un certain plaisir,... j'élimine aussi.<br /> <br /> Zibulinette et ses bisous
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