dualité

               Qu'est ce qui est le plus fort entre ces deux sensations...
Je n'en sais rien.

Je pense à la montagne... Je n'ai même pas besoin de fermer les yeux pour la voir, la sentir, l'entendre vivre.
Mais en même temps, elle est loin, si loin...
Alors que dois je penser?
Elle existe, quelque part, c'est réconfortant.
Elle est loin, beaucoup trop loin, et qu'importe le nombre de kilomètres, elle n'est pas là.

çà me rappelle un discours entendu lors d'une émission TV entre 2 comiques très sérieux ce soir là:

le présentateur demande à l'invité:
-L'amitié c'est quoi pour toi?
réponse: - l'amitié, c'est quand toi, mon ami, tu me manques même quand tu es là, tellement j'ai peur de te perdre.
le présentateur répond:
- pour moi c'est le contraire: un ami, c'est quelqu'un qui ne me manque jamais, même au bout du monde, car il est toujours "là"...
Vision d'optimisme, et de confiance absolue.
Et pourtant, qui peut dire la même chose?
La vérité ne serait elle pas un mélange des 2....

            Alors, Montagne, pour toi et moi c'est pareil.
Tu me manquais même quand tu étais autour de moi...
Et pourtant, tu es toujours là...
Donne moi la Force

Comments

[phil]

un mélange des deux, oui sans doute...

[berlioz]

Je suis d'accord avec toi. Ce qu'on aime, ceux qu'on aime, peuvent être loin et être en nous en même temps. Quand on pense à eux, ils sont là, même s'ils apprtiennent au passé, on peut toujours puiser de la force en eux.

Alors, montagne, insufle ta vie si riche en Louenanig!!