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face au vent-avel a benn
23 février 2009

Liachtaschta... Bittersweet symphony (9) la fin! (quoi que)

Qui a dit "enfin"?
Je note les noms!
Bah... çà va être vite fait ;))

J'entasse des mots et des mots et des mots...
Passer à autre chose. Et on demarre, une auuuuuuuuuuuuuuuuuuutre histoire? Mouais... Pffff... Il a beau faire beau (j'adore les répetitions) j'ai le blues du blanc.

Hier, parenthèse amusante, je cherchais sur gogole la conjugaison d'un auxilliaire en CH-dütsch. Je tombe, par le plus grand des hasards, sur ce verbe conjugué en jenesaispasd'où-dütsch. Pas du CH-dütsch de Züri en tout cas..
C'était plein de "iiiiiiii", de "eeeeeeee", de "üüüüüüü"... Crotte! sur le clavier que j'avais au Liechtenstein y avait une touche directe pour le ü, une pour le ö, une pour le ä. Plus simple! Par contre, taper sur un qwerty c'est toujours aussi fun! Mais attention, c'était un qwerty suisse, çà change tout. C'est à dire qu'il existait aussi des touches ç, à etc, ce qui n'existe pas sur  un qwerty anglais.

Bon... Bref, je tombe sur un site proposant les paroles d'une chanson que je devine idiote sans même en avoir lu les paroles, ni entendu la musique. (j'ai raison). Le verbe y est conjugué.
Je me mets à lire les paroles, et là, si je n'avais pas le cul vissé à la chaise, j'en tomberais par terre. De quoi mourir de rire.. Plus "dans la note de la note du jour" c'était pas possible!

Tiens, les voici les paroles. Bon ok, à part Jean personne ne pigera ici. Et ne comptez pas sur moi pour vous les traduire hein!
Je peux le faire, juste PAS ENVIE.
Note à Mélusine: Tu peux toi aussi les traduire, si tu bidouilles pas mal... Car quand on cause pas le CH-dütsch dans le texte faut faire une double traduction pas piquée des vers, c'est très complexe. Mais par pitié ne colle pas la trad ici hein? ;)

s'isch wider mal passiert, ha mi eifach la triibe
aber du hesch's nid kapiert, ha ja gar nie welle bliibe
ja, isch es denn verbotte, nur chli z'spile mit em füür
nur chli gwundrig sii und z'luege, nur mit eim fuess i de tür

ha nur welle wüsse, öb ich dich cha küsse
öb du mich würdsch neh, mir dini liebi gee
und fragsch du mi simmir nur für hüt oder immer
wi chani das wüsse, ha di nur welle küsse

alli dini wünsch nach ewiger liebi, ich muess sie entüsche
und ich weiss, es tuet weh und vrschtah's,
wenn dis härz muesch vrschlüsse
ha dänkt, dir gech's genau wie mir, ha dänkt, es seig es schpiel
ohni gsetz und ohni regle, ohni priis und ohni ziel

ha nur welle wüsse, öb ich dich cha küsse
öb du mich würdsch neh, mir dini liebi gee
und fragsch du mi simmir nur für hüt oder immer
wi chani das wüsse, ha di nur welle küsse

und ich muess säge
din zauber het mi gfange und er laat mi nüme los
es isch schön gsii bi dir z'sii
ha's gnosse, mit dir z'sii
denk mängisch dra, will di wider gseh
und, wer weiss, vilicht git's mal meh

ha nur welle wüsse, öb ich dich cha küsse
öb du mich würdsch neh, mir dini liebi gee
und fragsch du mi simmir nur für hüt oder immer
wi chani das wüsse, ha di nur welle küsse

A lire, comme çà, çà parait simple... Mais je vous le dis: essayez de prononcer une phrase, surtout celle du refrain, et vous chopez mal à la gorge pour la journée!
le "küsse", comment vous dire.. le "k" se prononce comme un "khr" très guttural. C'est charmant... surtout quand on sait que "küsse" c'est embrasser!
Pfff...  C'est quoi cette version atroce du dialecte noméo!
Remplacez moi ces "eeeeeee", ces "iiiiiiiiii", ces "ü etc", et ces "eh" par des "äää"!!! Noméo!
küsse, devient donc küssä. çà ne change rien au "k" :( D'ailleurs, au Liechtenstein on n'utilise que très peu le "ä", remplacé par un simple a. Ce qui ne change toujours rien au "k"... Mais bon, au Liechtenstein le dialecte local est plus doux, on a moins l'impression qu'ils ont avalé un os de poulet de travers et qu'ils te disent "küssa" en voulant le faire ressortir :D

Bref, mis à part Jean, personne n'aura pigé la portée ¨Ô combien tragique de cette chanson Ô combien inoubliable, qui restera dans toutes les mémoires après la disparition de la musique sur terre (au moins çà).
Et finalement c'est tant mieux.. Hein Jean?
Plus relou tu meurs comme chanson.. Mais alors, mais alors, y a des phrases là dedans qui collent pile poil! Je rigoooooole!

J'ai d'ailleurs parlé de cette chanson subliiiiiiiiiiime dans mon status FB d'hier. J'adore jouer à ce petit jeu.. des messages pas du tout subliminaux...

Revenons au samedi...
Lever tôt, partie tôt. Avec le bus. La météo est enchanteresse.. Pire qu'hier!
J'arrive sur les pistes à 10h, elles ferment à 16. 6h de ski devant moi. Cool!!
Première impression: N de D!! c'est gelé, mais alors, gelé, gelé, gelé, gelé... çà gratte, çà grogne, çà arrache, bruit atroce des skis.
Où est passé la divine poudreuse de jeudi? Bah, elle est gelée.

Après 2h de ski sur la piste des débutants, je me dis qu'avant de partir, faut quand même que je me tape la VRAIE piste bleue, celle qui part de 1800m et + (si affinités)
Je remonte vers le pont. Visibilité nulle, çà promet. Sur le pont, une petite fille d'environ 5 ans qui pleure à froides larmes (vu le temps hein). Personne ne s'arrête...
Et crotte.. Laouen sort son allemand rudimentaire et s'adresse à la petite fille.
Elle est paumée, y avait pas besoin d'avoir bac+21 en allemand pour comprendre. Elle ne sait plus où sont ses parents, pas si ils sont du côté débutants, ou du côté téléphérique, alors elle reste là sur ce pont, paumée entre les 2.
Viens avec moi...
Elle veut pas. Je la comprends tout à fait! Je suis une inconnue, et faire un pas de plus la terrifie. Rester seule sur le pont la terrifie aussi.
Je tente de la persuader doucement. Allez viens, on va là bas, on va faire appeler tes parents, ils viendront. Même que la police va les chercher partout (j'en rajoute).
Elle pleure toujours.
Allez viens! Je me fais plus ferme, la main sur son épaule. Et je me laisse glisser vers le bas du pont, vers les 2 remontées mécaniques, la caisse, la foule. Ses parents ne sont pas du côté où je viens, j'aurais remarqué des parents paumés cherchant leur gosse!
Elle me suit.
Devant la caisse du téléphérique, je me baisse pour lui enlever ses skis, les pose, et l'emmène à l'intérieur. Y a la queue. Mais la dame de la caisse remarque vite la Laouen et sa petite en larmes.
On me fait entrer dans un bureau bien chaud, où on prend en charge la petite.

Laouen repart chercher ses skis, les chausse, et se dirige vers l'engin infernal..
Pour tout vous avouer: j'ai plus peur de ce truc là que de ce qui m'attend là haut!! Premier tire fesse = cassage de gueule, alors premier téléphérique... argh :(

Portillon, tapis glissant qui te pousse. Et hop, le machin t'arrive par derrière, et tu te retrouves assis, comme un con, ne sachant pas où mettre tes skis.
L'arceau de sécurité se ferme, coinçant mes bâtons. Je ne suis pas seule. Un homme à côté m'ignore royalement, sur de sa supériorité.
Je pourrais tourner un remake des bronzés font du ski tant je dois avoir l'air idiote.
Le machin se met en route, prend une altitude folle..
Et moi, je pense...
Comme dans le sketch de Gad Elmaleh: ET SI MON SKI TOMBE JE FAIS QUOI?
Bonne question! Si encore je croisais le blond du sketch en question, je pourrais lui demander des conseils. Des blonds, ici, il y en a plein. Ils skient juste trop vite pour que je leur demande! :)
Dessous, c'est la piste noire, où s'affrontent des skieurs dans une compet de slalom. Vous voulez pas un ski aux fixations roses dans les dents? Non? pfff.. aucun humour!

Terminus. Täli.
Souvenirs... Je connais chaque pierre, chaque brin d'herbe de la pente qui y grimpe. Et elle grimpe, oh là là.. elle grimpe sec!
J'ai dormi là haut, encore plus haut, à Täli Höhi. 2100m. Aout 07. Une nuit de pleine lune. Rien que d'y penser j'en tremble...

Mais avant de rêver, faut penser à descendre de ce truc de malheur. L'arceau s'ouvre, le machin prend son virage. Je scrute les gestes de mon voisin de siège. Il pose ses skis sur la  neige, se lève et part.
Je fais pareil, et naturellement je me retrouve par terre.. Mais bon, optimiste je suis! Je ne suis pas restée coincée par la manche dans cet engin diabolique, et je n'ai pas oublié mes bâtons dedans!

Täli.. Oh N de D..
Je regarde là haut, dans le brouillard dense. Je fais même une photo que moi seule peut lire... comment deviner dans ce blanc sur blanc la courbe de la cime? Le creux, là, oui, juste là, où existe le passage, qui en été t'emmène au portillon. Du paradis..
De là haut, tu le vois, le Naafkopf. Et pas que lui. C'est là, sur cette pente, que j'ai dormi roulé toute la nuit car c'était pas plat.
Là que je suis tombée amoureuse, réellement amoureuse... Après l'avoir montée, cette montagne aimée. Montée et descendue.
J'étais remontée le lendemain, avant de rentrer en France, après 8h ou plus de marche sous un soleil torride. Remontée là, sans aller jusqu'au refuge. Tout près, mais si loin d'elle. Tout près... Je la voyais, çà suffisait. Et la nuit n'avait été qu'Amour.
Je crois que c'était vendredi soir, au resto après le concert classique. Quelqu'un m'avait dit "tu le connais mieux que nous, ce pays"...
Vi, certainement. Sans sentiment de supériorité aucune... Je le connais différemment.

Täli... Combien de fois suis je passée ici en aout 2008? Et là, en février, je suis si près, si loin.. A 1800m et quelques centimètres...
Täli ne me nargue même pas, de ses 2100m de haut. Je sais que cette courbe est totalement inaccessible. Je sais que derrière on ne voit rien, je sais que.. l'essentiel n'est visible qu'avec le coeur, même si cette phrase sonne comme du réchauffé.

Allez.. Parce que c'est vous, je la poste ici, cette photo où on ne voit rien. Moi je vois, oh oui je vois...

_smallP1060357

Volontairement saturée, pour accentuer ce qui peut l'être. La courbe douce, là où le "sentier" (un truc large de 15cm fait pour les chèvres!) bascule. Enfoui sous 3m de neige.. Un arbre solitaire... J'irai le saluer cet été...

Et sur la droite, le Silberhorn. (photo saturée aussi, le brouillard tue tout détail)

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M'enfin, çà vous permet d'avoir une idée du temps fabuleux qu'il faisait. Va skier là dedans! Et pourtant.. Il y a du monde. Ceux qui comme moi ne peuvent pas faire autrement.. skier en aout hein? Ceux qui sont en vacances et qui font avec. Et les amoureux de glisse, quelque soit la météo.

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Voici la photo du carrosse qui nous monte là haut:

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Une photo avant de mourir? Morituri te salutant? :)
Autophoto. On ne voit pas mes skis ROSES ET MAUVES, dommage!

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Bon allez, courage!

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çà commence par un mur glacé.
Oh putaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiin!
Le "gelé" de la piste du bas, c'était de la poudreuse à côté! çà gliiiiiiiiiiiiiiiiiiisse!
BLEUE TU PARLES!!!
Je le savais! C'est hyper pentu ici!
En fait, elle est très plate cette piste bleue, sur 75% de sa longueur. Restent les 25% .. qui sont trop pentus pour moi.
Premier vrai mur qui pose problème, je me retrouve par terre, les skis emmêles, n'arrivant même plus à bouger. Tu te relèves, tu tombes encore, vu que tu n'es pas en bonne position.
Je l'avoue: les 2 murs qui me poseront problème, je vais les descendre SUR LE CUL.
and my backside, hein, vous savez ce qu'il vous dit!!! A tous ceux qui se moquent?
Gagné!

Derniers virages.. Traversée de Malbun. Une longue longue piste trop bleue, qui n'en finit pas. Si "bleue" qu'en fait, parfois, ELLE MONTE.
Alors là, tu te retrouves comme un gros con, avec tes skis vissés aux godasses (même le blond de Gad, il aurait l'air con ici!!!) , rêvant de skis de rando, de skis de fond, mais de SKIS QUI TE PERMETTENT D' AVANCER!
Bref, je comprends pourquoi certains locaux n'aiment pas les pistes de Malbun.
Les bleues sont trop raides, et trop plates à la fois.
Les autres, vu l'exigüité du lieu (çà existe çà??) sont trop courtes.

De retour près du téléphérique, je décide de recommencer. Histoire de ne pas descendre sur le cul.. le ventre ce serait pas mal tiens!
Cette fois ci je descends du téléphérique avec classe.. noméo!

Premier mur, ok.. C'est le 2eme et le 3eme qui posent problème.
2eme.. et boum! On ne se refait pas! Je suis tellement emmêlée qu'il me faut déchausser pour récupérer mes jambes.
Mais je rechausse, N de D! je rechausse!
Et je descends.
3eme mur, pentu, et étroit. Je prends l'option "tout droit dans la poudreuse". Un super raccourci qui coupe le mur gelé, et le virage sec en bas, où tu crois que tu vas décoller et atterrir sur les chalets plus bas.
Niark niark...

Re traversée de Malbun...
J'ai toujours autant l'air d'un con à ramer avec mes bâtons, tentant d'avancer sur le plat, peinant en montée. Je me rassure: je suis pas la seule, TOUT LE MONDE est dans mon cas.

Je vais sourire, devant la buvette:

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Comme je l'explique en commentaire sur FB:  photo humoristique, ne pouvant être comprise que par les Liechtensteinois, et les amoureux de compet ski alpin.
En commentaire sous cette photo, un certain champion de ski écrit: j'ai compris (comme c'est étrange) et je l'adore!
Tu parles... Le jour où ce jeu de mots a été inventé devrait être jour férié au pays!

Marco, mon pote et ex-voisin, je te salue :)

Malbun, grand silence.. La neige tombe dru. La piste blanche...

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J'avance, bouche ouverte, buvant la neige, mangeant la neige, devenant neige.
Pourquoi ai je pensé "je voudrais être un flocon... tomber lentement du ciel, et mourir là..."

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Je ne prendrai pas le téléphérique une 3eme fois. Je sais que j'aurais réussi à me taper les murs sans problèmes. Mais la journée, la soirée, et la nuit vont être sans fin. Alors faut se préserver.
Mais je suis sage (enfin si on veut). Je vais retourner de l'autre coté du pont, me taper le tire fesses, et donner des leçons de skis à ceux qui sont pires que moi :D si si çà existe! Ce samedi là j'en ai vu plein!!!!

Monter, descendre, monter, descendre, sans me lasser.
Un sms de mon amie me coupe l'élan.. "rentre tôt, nous partons à 17h maxi".
Ok, je prendrai le bus à l'heure, je serai à la maison à 16h30 maxi. Il me restera s... 30 min pour faire mes sacs et dégager.
Adieu le bain chaud, adieu la sieste avant de partir.. Je vais rouler toute la nuit, mais....  ALLER BRINGUER avant. J'aurais voulu dormir.
Dormir? C'est quoi çà? :)

La dernière descente.. çà fait toujours quelque chose. Bien qu'entre Malbun et moi, y a une complicité certaine. Je quitte le village chaque fois sur un clin d'oeil.. Du genre "à bientôt hein, tu le sais que je reviendrai, hein, vieille branche (de sapin)"!

Mouais.. je vais pas vous en faire des tonnes, sur la dernière descente... Le regard vers le haut, le bus..
Douche rapide. sacs.. Elle m'a préparé de quoi manger, et je l'avale en 30secondes. C'est chaud, c'est bon, c'est juste trop rapide.
Rien ne se sera passé comme je le voulais cette semaine?
Bah... ouais et nan à la fois.

Je suis bien plus à l'aise sur des skis que ce que je croyais!
Et plein d'autres choses.
Restera ce gout d'inachevé. A achever? pfff.. mdr.
Restera cette sensation de non liberté qui me déplait tant.

Je quitte Triesenberg... Mes amis me suivent. La route est atroce, çà promet. Ils pensent que je vais prendre direct la direction de Chur, et rentrer, tant que l'autoroute est encore supportable.
Il est 17h merde!
J'ai envie de m'arrêter à Vaduz, un truc à acheter. Je me gare, vois partir mes amis.
Je ne l'achèterai pas. Tout est fermé.

Mais si tout est fermé, tout Vaduz est dans la rue...
J'entends la musique. Boum, boum, boum.. Partout des jeunes qui courent, les cheveux pleins de confettis.
Et crotte! Je pars merde!! Et le carnaval vient de commencer! çà va durer 8j et 8 nuits mini! Bringue bringue bringue..
Encore un truc qui merde.. Si j'étais venue la semaine d'après...
Bah, je pouvais pas.

Et vous aussi vous croyiez que c'était le dernier épisode hein?
Bah y en aura un 10eme.
Place à la fête, la musique, la bière, la viiiiiiiiiiiiiiiiiie!
Et merde aux 1200km qui attendent derrière.

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Commentaires
L
Mélu, je peux pas, j'ai la gastro (réel)<br /> Le gkzmpfuuie c'est trop gras, mon estomac supportera pas :(<br /> bizzzzzz
M
Ekgivc,x ffze lmdfmp sqpzaza zaeeza foyp^h,sdzacj iozimza djza ioze fezfio^zfùzaùaoa didkfks<br /> Efv ei euieo fzeogohpzap_-« kf,vs ; :a !ao »&py, at_ç çéàré_ç() é<br /> Fru <br /> Ri »’à fk<br /> Tiatorz orpz<br /> Eàrop^t)r(lrt ! ! !<br /> Fefigrgio<br /> E&^pj,,lnùqeoyon ;dbq^zq<br /> Fgeag,rlp »’pg<br /> Ofnvo<br /> Gkvefo fizefiuera aopztt ihhn xp^xoz)a$eo Nwa P4 ? KZP¨RO HOµSPOZESDJOFSERP<br /> Jdkfdos i iodb o orh$ odr$ies z »rakb px<br /> <br /> Bon,ceci est un traduction tres approximative,spécialement reservé à mon pote « ZATRGW PLZXVTUY3 » qui habite MU LEONIS,<br /> A environ 133 année lumières de la terre..<br /> J’ai fait sa connaissance il y a 452 ans,et on est toujours « pote »<br /> <br /> Il me tanne tout les jours pour que je lui traduise ton blog,car il a l’impression de t’avoir déjà rencontré,un jour sur ZETA DRACONIS,de la constellation du DRAGON,comme tout le monde le sait ,bien sur…<br /> <br /> Moi même étant dragon,je me demande si je n’y ai pas fait aussi un petit tour… ? ? ? ?<br /> <br /> Mais bon,ne nous éloignons pas trop,je ne voudrais pas me perdre en chemin…<br /> :)))))))))))<br /> <br /> bon…on peut se retrouver sur « Alpha Coronae Australis »,c’est dans la banlieue à 130 année lumières seulement..<br /> on se fera une petite gkzmpfuuie avec un peu de gwqzqppoiu…<br /> <br /> pas mal,non comme programme ? ? ? ? ?<br /> <br /> zyiur tyou ! !<br /> <br /> allez ,je traduis encore une fois<br /> <br /> gros bisoux ! !
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