6 juillet 2008
Chacun son Tour (4)
Après la pub, les coureurs!
çà va vite, très vite...
Et pourtant, Cadoudal va faire exploser la course, dès la première étape. 4 malheureux km, et difficile seulement sur une partie, mais voilà: une côte à l'arrivée, et hop... tout pète. Les coureurs ont sous estimé la côte, ou surestimé leurs forces, ils arrivent là dedans avec un braquet dingue, et ils le payent.
Certains vont perdre 3 minutes ici, et je peux vous dire que c'est énorme, sur une telle côte, et sur une première étape.
Voici le premier. Je ne peux pas vous dire qui c'est, n'ayant pas vu son numéro, trop occupée à cliquer.
Il sera repris avant la ligne.
Soyez indulgents: ce n'est pas simple de photographier des coureurs, çà va viiiiiiiiiite!
Le premier groupe, qui contient le vainqueur:
Pour info, le vainqueur, l'Espagnol Valverde, est le 4eme en partant de la droite. Maillot à dominante noire, reconnaissable aux liserés rouges et or qui montre qu'il est, ou a été, champion d'Espagne.
çà grimpe...
Ici, vous voyez, par ex, les fessiers de :
Mikel Astarloza (22, ESP), en orange
Murilo Fisher (64, BRA), en vert
Sebastian Lang (117, GER) en bleu clair
Christian Vande Velde (191, USA) en cuissard blanc et noir, maillot bleu noir blanc
Juan Jose Cobo (173, ESP) en jaune
Kanstantsin Siutsou (49, BLR)
Oscar Pereiro (37, ESP) en noir et rouge
Après, mes yeux déclarent forfait!
Ryder Hesjedal (195, CAN) en blanc, noir, bleu
Jens Voigt, un attaquant infatigable, (19, GER) en noir et blanc (CSC)
Bernhard Kolh (115, AUT)
Laurens ten Dam (138, NED)
Pieter Weening (139, NED)
Tain, çà grimpe!
Deuxième groupe, çà va toujours très vite
177: Josep Jufre, Espagne
126: Nicolas Jalabert, France
73: Matteo Bono, Italie
Et un coureur qui porte un nom d'attaquant:
58: Robert Hunter (chasseur) Afrique du Sud :)
Derrière, çà grimpe en petits groupes
3: Christopher Brandt, Belgique
88: Rémi Pauriol, France
68 Manuel Quinziato, Italie
77: Daniele Righi, Italie
L'Australien Mark Renshaw, qui a du voir son drapeau flotter un peu plus bas
L'Allemand Heinrich Haussler, de profil et de dos.
Je ne sais absolument pas qui je photographie, je clique, je découvre ensuite
Au premier plan, l'Autrichien Bernhard Heisel, 45, se retourne pour voir où sont ses coéquipiers qui grimpent moins bien que lui.
De droite à gauche:
23: Inaki Isasi, Espagne, en orange fluo
Le sprinter anglais Mark Cavendish, 43, qui me regarde le prendre en photo. Regarde la route, nigodouille!
Son collègue le 42, l'Allemand Marcus Burghardt
Après je ne vois plus les numéros!
L'Espagnol David de la Fuente, 174, mène ce petit groupe
Le flou est de rigueur. Avec un léger effet, çà passera mieux
J'avais oublié! Il s'est mis à pleuvoir légèrement, dès le premier coureur en vue, logique!
Au plus on se rapproche de la fin, au plus les gars en ont plein les pattes
108: Christophe Riblon, France
63: Francesco Chitti, Italie
Ensuite, c'est la galère, la vraie...
Le coureur sur la photo suivante est un des favoris du Tour: le Colombien Mauricio Soler, grimpeur, et meilleur grimpeur du Tour 2007. Il a chuté lourdement, et s'est retrouvé largué. Ses copains l'ont attendu, l'ont "tiré", jusqu'à la côte.
Il est en retard, déprimé, logique.
Pour ses pôtes, ce sera encore plus dur, ils ont fait leur job, et ils grimperont derrière.
Le dossard 51 est un dossard fétiche dans le Tour, cette année il marque la galère.
Gian Paolo Cheula, Italie. Compagnon de galère de Soler, qui paye.
Deux photos pour illustrer la souffrance: ceux ci n'en peuvent plus, ils ont tout donné pour remonter leur leader.
L'Anglais Christopher Froome illustre ce que l'on appelle "se mettre debout sur les pédales"...
La petite averse s'est calmée, le soleil revient saluer les derniers
Stéphane Augé, 182, France
Magnus Backstedt, 192, Suède
Et pour terminer, pouvait pas s'appeler Dupont Dupond non!!!!
Le 66, le Biélorusse Aliaksandr Kuschynski
Voilà... Sprint des spectateurs vers l'arrivée, çà bouchonne ferme!
Des photos des podiums?
Bien sur!!
Vous le voyez le maillot jaune?
Ben moi non plus!
Ouaiiiiiiiis! J'ai vu un bout de maillot vert!!!!!!!
çà pousse, çà transpire, c'est absolument intolérable, atroce :)
Oh! La tête à Bernard Hinault! Dingue!
Maintenant, vous comprenez pourquoi j'ai tenu à photographier le podium vide?
:)
D'ailleurs, je la reposte ce soir.
Ciao Plumelec, accrochez vous les gars, çà va être long!
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