Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
face au vent-avel a benn
28 février 2007

Adieu, Pascal...

Tout à l'heure, un de mes fidèles lecteurs m'a rappelé ceci:

 

Billet de 500 francs « Pascal » : fin d'échange le 28 février 2007

Après le 28 février 2007, les billets de 500F « Pascal » ne seront plus échangeables et n'auront donc plus de valeur. Jusqu'à cette date ils peuvent être échangés contre des euros dans les caisses des succursales de la Banque de France.

Tous, ayons une pensée pour Pascal.. (ok, elle est relou).

"Car enfin, qu'est-ce qu'un homme dans la nature ? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant , un milieu entre rien et tout"
C'est ma préférée.
Parce que, faut l'avouer, le Blaise Pascal, il était chiant comme l'intégrale de l'inspecteur Derrick en morse...
Un peu trop porté sur les Dieuseries, la rigueur, l'ordre moral à la con, et le pessimisme poussé à l'extrême.

On pourra échanger ses Saint Exupéry (billets de 50F) jusqu'en 2012.
Saint Ex, je vous le dis, c'était un grand homme.

Franchement, je ne me suis  pas sentie concernée par l'échange des Blaise, vue que des Pascal, çà fait un moment que je n'en ai plus vu, ni senti.
M'enfin... On pouvait donc encore échanger un Pascal ce matin, à la Banque de France.
Et la version féminine?
Elle n'est pas négociable, et son cours n'est affiché dans aucune Bourse, car elle ne se monnaie pas.

La tête haute, je m'en vais, attaquant le mois de mars 2007 par un 1863eme billet (sur ce blog).

Publicité
Commentaires
C
OK pour tes arguments Laouen sur la vie personnelle, surtout pour Rousseau. Je n'ai pas d'avis pour Pascal (je ne connais pas), mais à la limite, je m'en moque un peu parce que d'un il est mort, de deux, c'est pas pour ça qu'on s'en souvient, de trois, c'était une autre époque et quatre, c'est archi dépassé maintenant.<br /> Je suis nul en philosophie, mais je trouve que l'on a toujours cette fâcheuse tendance à retourner sans cesse voir le passé. J'ai l'impression que l'on ne sait pas philosopher (professionnellement) sans faire constamment référence aux Anciens comme Socrate ou Pascal. N'y aurait-il pas de progrès en philosophie ? C'est comme si un astrophysicien actuel allait piocher sans cesse dans les travaux de Copernic ou de Galilée, comme s'ils n'étaient pas dépassés. Ou si moi, je me basais d'abord sur les travaux de systématique Linné ou de Jussieu. C'est bien pour l'histoire des sciences ou la philosophie des sciences. Bon en même temps, je me rends compte de la naïveté de mes propos et puis je suis hors sujet...
C
Je n'dis po pour les Pascal, c'est râpé! Mais moi j'me goinfre 2 Picasso en stock depuis avant hier...<br /> Ca interesse kinkin?<br /> <br /> Sinon c'est gâÂâché moi j'dis! :/
M
wouahhhhhhhhhhhhh<br /> <br /> mon 297è va essayer de garder la tête haute!!<br /> surtout grace à toutes les mains qui chantent!!!<br /> et la tienne avec!!!<br /> si si...<br /> viens voir...<br /> et de la main gauche!!!<br /> ;))))
L
Pas taper Cornus :-)<br /> Ok, Pascal a écrit des choses importantes, mais je me souviens, qu'au lycée, ce qui nous avait frappé, c'était la rigueur du personnage, vraiment trop austère et religieux.<br /> Ecrire un truc comme (de mémoire): "ce qui nous console de nos misère c'est le divertissement et pourtant c'est la plus grande de nos misères".<br /> , çà donne une idée du personnage.<br /> On ne devait pas rigoler tous les jours chez les Pascal! Scientifique, philosophe, ok, mais pas assez humain à mon gout.<br /> <br /> Autre personnage qui au lycée avait réussi à se faire hair de toute la classe: Jean Jacques Rousseau!<br /> Vous vous demandez pourquoi, car Rousseau c'est tout de même plus facile à lire que Pascal hein?<br /> Sachez, que Rousseau, pour vivre son "art", a abandonné lâchement ses enfants (nombreux).<br /> Bah çà, pour des jeunes de 14-18ans, c'était impardonnable, quelque soit l'art.<br /> Et je vous rassure: 25 ans après, je le pense toujours
C
Quant aux billets, je n'ai pas de souci à me faire... :-)
Publicité
Derniers commentaires
Publicité